Répondre aux enjeux des DSI dans un contexte de travail hybride

Mis en place dans le contexte contraint des confinements consécutifs à la crise du covid-19, le travail hybride s’est installé en un éclair dans les habitudes professionnelles. Alors que la pandémie s’éloigne, il semble s’inscrire durablement dans les usages. Une étude menée en 2022 par Harris Interactive pour HP confirme cette tendance : « employés et employeurs s’accordent à dire que le travail hybride est là pour rester », et 7 personnes sur 10 confient être en accord avec ce nouveau paradigme de l’organisation de la vie professionnelle. Les salariés sont même 80 % à considérer que c’est une bonne idée.

Travail hybride : Comment mieux gérer les cyber-risques ?

La généralisation du travail à distance, après le début de la pandémie du covid-19, s’est presque immédiatement traduite par une aggravation des cybermenaces. En 2022, le coût moyen d’une violation de données était 4,34 millions de dollars en France. Lorsque le télétravail est un facteur à l’origine de la violation, les répercussions financières pour l’entreprise sont plus importantes (+1 million de dollars versus une attaque sans la dimension télétravail.) C’est ce que révèle le récent rapport d’IBM « Cost of a data breach ».

LE COIN DE COINTE
LE COIN DE COINTE SUR... LE SUPER DSI DE TRANSITION

Travail hybride : comment la DSI peut-elle améliorer l’expérience utilisateur ?

De nouveaux défis autour des technologies émergent au sein des entreprises pour deux grandes raisons : le but est de rendre les collaborateurs plus efficaces au quotidien par le biais d’outils pleinement adaptés à leurs besoins, mais aussi d’améliorer leur fidélisation en agissant sur la perception qu’ils ont de leur vie professionnelle. Un aspect d’autant plus essentiel que les travailleurs attendent de trouver dans leur métier la même agilité de fonctionnement que celle qu’ils connaissent dans leur vie privée.