IBM

  • IBM ressort son chĂ©quier

    L'intelligence artificielle au cÎté du Cloud hybride est un piler de la stratégie du nouvel IBM. Pour se renforcer IBM ressort une fois de plus son chéquier en vue de reprendre Turbonomics.

    Turbonomics reprĂ©sente la 11Ăšme acquisition d'IBM depuis l'arrivĂ©e de Arvind Krishna Ă  la tĂȘte d'IBM en 2020. Le montant de la transaction a pas Ă©tĂ© rendu public mais a Ă©tĂ© estimĂ© entre 1,5 et 2 milliards de dollars. L'opĂ©ration devrait se conclure d'ici la fin du deuxiĂšme trimestre de cette annĂ©e.

    Big Blue prévoit d'intégrer les fonctions de gestion des applications et des réseaux de Turbonomics avec les fonctions de la solution Instana d'observabilité des opérations acquises récemment et dans le Cloud Pak for Watson IOPS. L'intégration va permettre d'automatiser des actions d'optimisation des infrastructures sous-jacentes pour assurer les niveaux de performances.

    Un Ă©cran de la solution de Turbonomics.
  • IBM s ’allie Ă  Cohesity

    Les deux entreprises lancent une nouvelle solution en commun, IBM Storage Defender, qui intÚgre les fonctions de protection des données de Cohesity.

  • IBM s'Ă©tend dans les solutions de paiements

    IBM reprend une start-up canadienne, Expertus, spécialisée dans les solutions de paiements.

    Jacques Leblanc, CEO d'Expertus

    Basée à Montréal au Canada, Expertus a développé une solution en ligne de paiements pour les banques, les institutions de crédit et les entreprises. Créée en 2001, la plate-forme d'Expertus traite 50 milliards de dollars de transactions par jour. IBM va étendre sa solution hybride de paiement avec Expertus et transformer les paiements et la gestion de trésorerie avec l'apport de l'intelligence artificielle pour fournir plus de flexibilité en s'adaptant à la versatilité des clients.

    IBM va de plus obtenir d'importantes expertises en consulting pour accompagner ses clients dans la modernisation des paiements qui reste un défi pour de nombreuses institutions financiÚres. Le marché du consulting à destination du secteur de la finance est évalué à 100 milliards de dollars. Aucun détail n'a été donné sur la transaction.

  • IBM se renforce dans l'Ă©cosystĂšme Salesforce

    IBM a prévu de reprendre un cabinet belge de consulting spécialisé dans les environnements Salesforce, Waeg.

    AprÚs le rachat de 7Summits, IBM s'étend encore dans l'écosystÚme Salesforce en reprenant un cabinet de consulting spécialisé dans le domaine. Big Blue vise à prendre une place prépondérante sur le conseil et les services d'intégration autour de Salesforce dont le marché est estimé à 21 milliards de dollars en 2024 par IDC.

    Waeg, créée en 2014, a plusieurs bureaux en Europe : Belgique, Danemark, France, Irlande, Pays-Bas, Pologne et Portugal. Ses services couvrent de nombreux secteurs comme l'automatisation de la fonction marketing et la conception de politiques d'expérience utilisateur ou de stratégie digitale. Le cabinet a reçu plus de 400 certifications avec de nombreuses spécialisations verticales dans le manufacturing, les sciences de la vie et de la santé et le commerce B2B dans les environnements en nuage.

    Les équipes de Waeg vont rejoindre IBM Global Business Services et son entité spécialisée sur les environnements de Salesforce. Aucun détail n'a été donné sur la transaction financiÚre. L'opération devrait se conclure à la fin de ce trimestre.

    Jonathan Daens , partenaire et co-fondateur, et Chris Temmerman, CEO de Waeg.
  • IBM se rĂ©organise en sĂ©parant le cloud hybride des services

    [et_pb_section admin_label="section"] [et_pb_row admin_label="row"] [et_pb_column type="4_4"][et_pb_text admin_label="Text"]Tel HP il y a quelques annĂ©es, Big Blue va se diviser en deux entitĂ©s. IBM conserve ses activitĂ©s dans le cloud, hybride surtout, qu’il considĂšre comme son meilleur levier de croissance, tandis qu’une nouvelle entitĂ©, dont le nom doit encore ĂȘtre trouvĂ©, rĂ©cupĂšrera la couche Managed Infrastructure Services.  IBM va se sĂ©parer de son activitĂ© Managed Infrastructure Services, jusqu’à prĂ©sent intĂ©grĂ©e Ă  la branche Global Technology Services. Ce spin-off devrait avoir lieu d’ici Ă  la fin de l’annĂ©e prochaine. En rĂ©sultera la crĂ©ation d’une nouvelle entitĂ©, dont ne ne connaĂźt pas pour l’instant le nom. Celle-ci doit s’imposer, selon IBM, comme “le leader mondial des services d’infrastructure gĂ©rĂ©s” et se concentrera sur la gestion et la modernisation des infrastructures de ses clients, offrant des services de rĂ©seau, d’hĂ©bergement, de migration...  En bref, les activitĂ©s et le portefeuille de clients existants de la division Managed Infrastructure Services actuelle de Big Blue. Mais avec une relative indĂ©pendance quant Ă  l’infrastructure d’IBM, cette nouvelle entitĂ© promettant “de s'associer pleinement Ă  tous les fournisseurs de cloud”.   En parallĂšle Ă  cette sociĂ©tĂ© nĂ©e de la scission, le gĂ©ant continuera d’exister et se renforcera dans un secteur en particulier, le cloud. Et pas n’importe quel cloud, nous apprend son communiquĂ© : le cloud hybride. Un marchĂ© Ă  1000 milliards de dollars, assure IBM. De lĂ  Ă  voir une prise de contrĂŽle d’IBM par Red Hat, rachetĂ© par Big Blue l’an passĂ©, il n’y a qu’un pas. 

    Spin-off stratégique

    Toujours est-il que le nouvel IBM sera trĂšs largement adossĂ© Ă  Red Hat et Ă  OpenShift. “GrĂące Ă  une intĂ©gration plus Ă©troite et Ă  une concentration sur ses solutions de cloud hybride ouvert et d'IA, IBM passera d'une sociĂ©tĂ© dont plus de la moitiĂ© de ses revenus est rĂ©alisĂ©e dans les services Ă  une sociĂ©tĂ© dont les revenus seront rĂ©currents et issus majoritairement des logiciels et des solutions cloud” Ă©crit l’entreprise.  Pour Arvind Krishna, le PDG d'IBM, “les besoins d'achat des clients pour les services d'application et d'infrastructure divergent, tandis que l'adoption de notre plate-forme de cloud hybride s'accĂ©lĂšre. Le moment est venu de crĂ©er deux entreprises leaders du marchĂ©, axĂ©es sur ce qu'elles font de mieux. IBM se concentrera sur sa plate-forme de cloud hybride ouverte et ses capacitĂ©s d'intelligence artificielle. La nouvelle entreprise aura une plus grande agilitĂ© pour concevoir, gĂ©rer et moderniser l’infrastructure des plus importantes organisations du monde”.[/et_pb_text][/et_pb_column] [/et_pb_row] [/et_pb_section]
  • IBM trompette AIDA

    IBM et plusieurs partenaires lancent un vaste programme autour de l’intelligence artificielle. Avec une vocation mondiale, le projet vise Ă  positionner la France dans une position prĂ©Ă©minente dans l’intelligence artificielle opĂ©rationnelle. Le projet est abondĂ© de 33 M€.

    AIDA (Artificial Intelligence for Digital Automation) souhaite encourager la co-innovation entre les entreprises privĂ©es et la recherche publique. IBM, DecisionBrain, STET et Softeam sont alliĂ©s Ă  Bpifrance et l’universitĂ© de Paris-Saclay pour dĂ©velopper une plate-forme d’apprentissage. Il s'agit d'aider les entreprises Ă  intĂ©grer l’intelligence artificielle dans leurs processus pour amĂ©liorer leur productivitĂ© et les rendre plus compĂ©titives.

    Le projet est dotĂ© d’un budget de 33 M€ dont 12 M€ par le Programme d’investissements d’avenir (PIA), pilotĂ© par le SecrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral pour l’investissement (SGPI) et opĂ©rĂ© par Bpifrance. Le programme s’inscrit dans la stratĂ©gie globale du gouvernement français autour de l’intelligence artificielle qui vise Ă  donner une place prĂ©Ă©minente Ă  notre pays dans ce domaine et maintenir l’emploi dans des secteurs Ă  forte valeur ajoutĂ©e.

    Les entreprises partenaires apportent les cas d’usages concrets sur lesquels travaillent les chercheurs et autres intervenants technologiques. Les collaborateurs de ces entreprises pourront ĂȘtre assistĂ©s dans leurs fonctions quotidiennes par des outils d’aide Ă  la dĂ©cision et par l'automatisation de certaines opĂ©rations (par exemple, la planification de la maintenance, la planification des Ă©quipes, la prĂ©paration de rapports, etc.). 

    La plate-forme vise Ă  mieux gĂ©rer les donnĂ©es Ă  la source des modĂšles d'intelligence artificielle, tout en augmentant la confiance dans l'intelligence artificielle. Le projet est lĂ  aussi pour dĂ©montrer qu’industriels et chercheurs sont capables de travailler ensemble sur des cas concrets et ainsi de diffuser plus largement la culture autour de l’intelligence artificielle dans les entreprises. Les laboratoires de Paris-Saclay trouvent eux des moyens complĂ©mentaires et installent un Ă©cosystĂšme technologique autour de la plateforme AIDA.

     

    Une vue du site de Paris-Saclay.
  • IBM va fortement augmenter le prix de son Cloud

    AprÚs les autres fournisseurs de Cloud public, IBM a annoncé une forte augmentation des prix de son cloud à partir du 1er janvier prochain.

  • IBM veut accĂ©lĂ©rer sur Openshift

    IBM a repris BoxBoat, un cabinet de conseil auprĂšs des grandes entreprises dans leur adoption des environnements en containers.

    Aucun détail n'a été donné sur la transaction. IBM espÚre que celle-ci va accélérer l'adoption d'Openshift de Red Hat. IBM compte sur BoxBoat pour accompagner les organisations qui manquent parfois de ressources spécialisées dans leur déploiements et les technologies des containers.

    Une des spĂ©cialitĂ©s de BoxBoat est la containerisation d'applications existantes ce qui demande des changements substantiels du code. De plus les services de consulting sont une partie importante des projets autour des environnements en containers d'oĂč l'importance d'un renfort comme celui de BoxBoat.

    C'est la troisiÚme acquisition dans le domaine pour IBM en quelques mois. L'opération devrait se conclure d'ici la fin de l'année.

    Tim Hohman, CEO et co-fondateur de BoxBoat.
  • IBM veut attirer les utilisateurs SAP vers son Cloud

    Une nouvelle option et un nouveau programme d’IBM vise Ă  permettre aux clients d'adopter plus facilement une approche Cloud hybride et de migrer les applications critiques des solutions SAP vers le Cloud pour les secteurs rĂ©glementĂ©s et non rĂ©glementĂ©s.

  • IBM veut former 2 millions de personnes Ă  l'intelligence artificielle en trois ans

    Pour aider à combler le déficit mondial de compétences en intelligence artificielle (IA), IBM a annoncé son engagement à former deux millions d'apprenants en IA d'ici la fin de 2026.

  • IBM France change de tĂȘte alors que Nicolas Sekkaki rejoint CMA CGM

    Le patron d’IBM France, en poste depuis 2015, s’en va piloter la transformation numĂ©rique du gĂ©ant du fret maritime. Il est remplacĂ© aux rĂȘnes de Big Blue dans l’Hexagone par BĂ©atrice Kosowski, jusqu’à prĂ©sent responsable de la branche Global Technology Services d’IBM France.  AprĂšs cinq ans passĂ©s Ă  la tĂȘte d'IBM France, Nicolas Sekkaki change de crĂšmerie. Il rejoint le gĂ©ant du fret maritime CMA CGM, dont il pilotera la transformation numĂ©rique. Sa premiĂšre tĂąche, dĂšs son arrivĂ©e, consistera Ă  gĂ©rer les consĂ©quences de l'infection des systĂšmes du groupe français, rĂ©cemment victime d'un ransomware, dont on ignore l'ampleur des dĂ©gĂąts.  Nicolas Sekkaki occupera chez CMA CGM le poste de directeur gĂ©nĂ©ral adjoint chargĂ© de l'IT, de la transformation et du numĂ©rique, directement sous les ordres du Grand patron de l'IT du groupe, Michel Foulon. Le gĂ©ant du fret n'est pas un inconnu pour le nouvel arrivant, puisque c'est sous sa direction d'IBM France que CMA CGM a signĂ© avec l'Ă©diteur un contrat portant sur le cloud IBM en 2017. 

    BĂ©atrice Kosowski patronne d’IBM France

    Nicolas Sekkaki aura pour mission "d'accĂ©lĂ©rer le dĂ©ploiement de son ambition digitale et technologique au service de ses clients, de ses mĂ©tiers et de la transition Ă©nergĂ©tique de l’industrie". Le groupe explique dĂ©jĂ  travailler sur des sujets Blockchain, IA et IoT "afin de permettre aux clients du Groupe de bĂ©nĂ©ficier des meilleures innovations technologiques mondiales".   La direction d'IBM France est dĂ©sormais assurĂ©e par BĂ©atrice Kosowski, prĂ©sente chez IBM depuis 1994. Au sein de Big Blue, cette ancienne de l'Essec a occupĂ© plusieurs postes, notamment directrice gĂ©nĂ©rale d'IBM Europe Moyen-Orient Afrique (EMEA) au dĂ©but des annĂ©es 2000, puis de vice prĂ©sidente d'IBM Global Financing pour l'Europe du Sud. Avant le dĂ©part de Nicolas Sekkaki pour CMA CGM, elle occupait la fonction de directrice gĂ©nĂ©rale de la branche Global Technology Services d’IBM France. La voici dĂ©sormais Ă  la tĂȘte d'IBM France.
  • IBM reprend Instana

    Une vue du logiciel d'Instana pour le suivi des tags AWS. Big Blue achĂšte Instana, une entreprise amĂ©ricano-allemande spĂ©cialisĂ©e dans la supervision de la performance des applications. LĂ  encore aucun dĂ©tail n’a Ă©tĂ© donnĂ© sur la transaction. Continuant son plan autour de l’AIOps, IBM achĂšte une entreprise spĂ©cialisĂ©e dans la gestion du suivi de performance des applications. BasĂ©e Ă  Solingen et dans deux autres sites aux USA (Chicago et San Francisco), Instana est un spinoff de CodeCentric et a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 2015. A ce jour l’entreprise avait levĂ© 57 M€ dont 26 par des capitaux allemands et emploie une centaine de personnes. La solution d’Instana utilise des Ă©lĂ©ments d’intelligence artificielle pour suivre et gĂ©rer la performance des applications utilisĂ©es dans des architectures micro-services par des visualisations 3D de performances avec des graphes issus d’algorithmes d’apprentissage machine.

    Cartographie en temps réel

    AprĂšs le dĂ©ploiement d’un agent sur les serveurs de l’entreprise, il est possible de dĂ©tecter et de cartographier ce qui fait fonctionner l’application (interactions et dĂ©pendances) en temps rĂ©el. Les informations collectĂ©es permettent de dĂ©tecter automatiquement des anomalies dans la performance des applications. CombinĂ©es aux fonctions d’AIops d’IBM, les fonctions d’Instana vont ajouter la possibilitĂ© du monitoring des applications dans des environnements de micro-services ou de containers.
  • James Whitehurst quitte la direction d’IBM

    L’annonce surprise du dĂ©part de James Whitehurst de la prĂ©sidence d’IBM est un coup de tonnerre dans le monde de la tech. L’ex-CEO de Red Hat ne donne aucune explication quant Ă  cette dĂ©mission inattendue qui inquiĂšte partenaires, clients et marchĂ©s.

    Arvind Krishna est dĂ©sormais seul maĂźtre Ă  bord. Le CEO d’IBM avait pris les rĂȘnes de l’entreprise l’an passĂ©, aprĂšs la dĂ©mission de Ginny Rometti. Mais cet ancien de Big Blue, dont il est salariĂ© depuis plus de trente ans, n’était pas seul aux manettes. Le conseil d’administration avait en effet dĂ©cidĂ© de lui adjoindre un prĂ©sident, James Whitehurst.

    Celui-ci Ă©tait l’un des vice-prĂ©sidents d’IBM mais aussi et surtout CEO de Red Hat. Une nomination stratĂ©gique puisque, depuis le rachat de Red Hat par IBM en 2019, le secteur se demandait si les rouges n’étaient pas en train de manger les bleus. En effet, le cloud a tirĂ© Big Blue vers le haut lors de l’annĂ©e 2020, un cloud portĂ© par Red Hat et ses solutions de cloud hybride qui bondissaient quant Ă  elles de 20%. Et ce alors que le chiffre d’affaires total d’IBM a reculĂ© de 4 milliards de dollars sur un an, Ă  73 milliards de dollars au 31 dĂ©cembre 2020, et ses bĂ©nĂ©fices d’autant.

    Qui pour piloter l’intĂ©gration de Red Hat ?

    Pourtant, malgrĂ© les excellents rĂ©sultats de Red Hat, James Whitehurst annonce son dĂ©part. Et ce de façon quelque peu prĂ©cipitĂ©e, ce que la bourse n’a pas apprĂ©ciĂ©e : l’action IBM a reculĂ© de 4%. « Jim a dĂ©cidĂ© de quitter son poste de prĂ©sident d'IBM, mais je suis heureux qu'il continue Ă  travailler comme conseiller principal pour moi et le reste de l'Ă©quipe de direction alors que nous continuons Ă  faire Ă©voluer notre entreprise » Ă©crit Arvind Krishna, sans autre forme de prĂ©cision sur les raisons de ce dĂ©part.

    L’opacitĂ© d’IBM sur le sujet ne manque pas de faire jaser, d’autant qu’ils Ă©taient nombreux Ă  voir en James Whitehurst le futur CEO de Big Blue. Certains voient dans ce dĂ©part une reprise en main de Red Hat par la maison-mĂšre, tandis que d’autres s’inquiĂštent du futur de l’intĂ©gration d’IBM et de Red Hat.

  • L'adoption de l'IA s'accĂ©lĂšre

    Une étude réalisée pour le compte d'IBM par Morning Consult dans différents pays européens indique une accélération du déploiement des technologies d'intelligence artificielle dans les entreprises.

    Plus d'un tiers (36 %) des professionnels de l'informatique interrogés ont déclaré que leur entreprise a accéléré le déploiement de technologies d'IA en conséquence directe de la pandémie. 44 % ont déclaré que leur entreprise explore activement l'utilisation de l'IA dans le cadre de ses activités. Malgré cela, seulement 27 % des personnes interrogées ont déclaré que leur entreprise avait effectivement déployé des éléments d'IA dans leur entreprise.

    43 % ont dĂ©clarĂ© que la capacitĂ© Ă  automatiser les processus pour permettre un travail humain Ă  plus forte valeur ajoutĂ©e Ă©tait au cƓur de leur rĂ©flexion. Plus d'un tiers (34 %) des professionnels europĂ©ens de l'informatique ont dĂ©clarĂ© que la perspective de rendre les employĂ©s plus productifs a influencĂ© leur dĂ©cision d'utiliser des logiciels ou des outils d'automatisation, en consĂ©quence directe de la pandĂ©mie de COVID-19. Plus d'un tiers des professionnels europĂ©ens de l'informatique dĂ©clarent que leur entreprise prĂ©voit d'investir dans des applications d'IA prĂȘtes Ă  l'emploi (35 %) au cours des 12 prochains mois.

    IA, une question de confiance

    La nĂ©cessitĂ© d'instaurer une confiance absolue dans les rĂ©sultats business de l’IA a Ă©tĂ© citĂ©e comme une prĂ©occupation majeure par 72 % des personnes interrogĂ©es qui dĂ©ploient l'IA ou qui Ă©valuent son utilisation. Dans ce groupe, 57 % ont soulignĂ© l'importance de choisir un fournisseur de technologie disposant d'un solide Ă©cosystĂšme de partenaires logiciels et technologiques tiers.

    Le traitement du langage naturel tient une place importante. L’étude a rĂ©vĂ©lĂ© que 38 % des professionnels europĂ©ens de l'informatique utilisent actuellement des applications de traitement du langage naturel, et plus d'un quart (26 %) indiquent que leur entreprise prĂ©voit d'adopter l'utilisation d'applications de traitement du langage naturel au cours des 12 prochains mois.

    Des freins identifiés

    38 % ont citĂ© la complexitĂ© apparente de l'intĂ©gration de l'IA dans les systĂšmes d'entreprise existants. 33 % ont soulignĂ© le manque d'expertise ou de connaissances comme frein Ă  l'adoption de l'IA. 29 % ont identifiĂ© la complexitĂ© croissante des donnĂ©es et l'existence de donnĂ©es en silo comme un obstacle. PrĂšs de 90 % des professionnels de l'informatique affirment que la possibilitĂ© de mettre en Ɠuvre leurs projets d'IA quel que soit l'endroit oĂč se trouvent les donnĂ©es, est la clĂ© de l'adoption de cette technologie. 41 % des personnes interrogĂ©es ont dĂ©clarĂ© que de nouvelles solutions d'IA plus accessibles Ă©taient un facteur d'adoption accru.

    A l'analyse, l'intelligence artificielle fait de plus en plus partie des environnements d'entreprise et son apport business doit maintenant ĂȘtre mis en avant pour rĂ©ellement convaincre tout en jouant la transparence et la nĂ©cessitĂ© d'expliquer comment elle arrive aux rĂ©sultats et son cheminement pour y parvenir.

  • Les États-Unis dĂ©jĂ  en tĂȘte sur le passeport vaccinal

    L’administration Biden plancherait sur un passeport vaccinal alors que dĂšs le vendredi 2 avril, les New-Yorkais pourront renseigner leurs donnĂ©es de vaccination sur Excelsior Pass, une application supportĂ©e par le IBM Health Pass et sous technologie blockchain.

    L’objet de tous les fantasmes dĂšs les premiers mois de l’épidĂ©mie de coronavirus, le « passeport Covid Â» - comme il est familiĂšrement employĂ© - est de plus en plus une rĂ©alitĂ© concrĂšte aux États-Unis.

    L’administration Biden rĂ©flĂ©chirait Ă  dĂ©velopper un systĂšme qui permette aux individus de prouver qu’ils ont Ă©tĂ© vaccinĂ©s contre le coronavirus, rapportait ce dimanche le Washington Post, alors que le pays est en passe de passer la barre des 100 millions de vaccinĂ©s et que le prĂ©sident Ă  promis un retour Ă  la normale Ă  l’hiver prochain.

    De nombreuses agences gouvernementales seraient en discussions pour dĂ©velopper de tels systĂšmes, notamment par l’enregistrement sur une application dĂ©diĂ©e pour permettre Ă  plusieurs secteurs de redĂ©marrer leur activitĂ© Ă©conomique.

    New-York choisit IBM

    Ce « passeport Covid Â» est en passe de devenir une rĂ©alitĂ© concrĂšte pour les New-Yorkais. DĂšs vendredi, ils pourront s’enregistrer sur Excelsior Pass, une application dĂ©veloppĂ©e par IBM pour renseigner de leur vaccination ou tests nĂ©gatifs au coronavirus.

    Comme lorsque l’on s’enregistre pour un vol, les individus pourront prouver leur statut mĂ©dical Ă  l’aide d’un QR code et s’enregistrer sur l’application en renseignant quelques informations personnelles comme nom, date de naissance ou code postal pour prouver leur identitĂ©, prĂ©cise USA Today.

    « Le Digital Health Pass est conçu pour apporter aux entreprises un moyen de faire revenir les citoyens vers des lieux tels que l’espace de travail, les Ă©coles, les stades ou les vols sur compagnie aĂ©rienne Â», indique IBM sur son site. Alors que le « passeport Covid Â» soulĂšve de nombreuses questions Ă©thiques, notamment sur le respect Ă  la vie privĂ©e, IBM garantit un systĂšme basĂ© sur la blockchain.

    Pas avant le 15 juin en Europe

    Concernant le Vieux Continent, Thierry Breton, commissaire europĂ©en en charge des vaccins, a annoncĂ© la mise en place d’un « certificat vaccinal Â» pour le 15 juin, a-t-il annoncĂ© sur le plateau du Grand Jury RTL/-Le Figaro-LCI, dimanche 28 mars. Le mode de renseignement de ce certificat n’a pas Ă©tĂ© prĂ©cisĂ© ni le nom des entreprises privilĂ©giĂ©es.

    En Irlande, Daon, spĂ©cialisĂ©e dans la vĂ©rification d’identitĂ©, a dĂ©veloppĂ© le premier passeport santĂ© mobile, appelĂ©e VeriFLY.

  • Les GAFAM discutent cybersĂ©curitĂ© avec Joe Biden et promettent des milliards

    C’est Ă  qui investira le plus. Microsoft, Google, IBM ou encore Apple ont rencontrĂ© hier Joe Biden lors d’une rĂ©union dĂ©diĂ©e Ă  la cybersĂ©curitĂ©. Depuis, les gĂ©ants rivalisent d’annonces et de dizaines de milliards de dollars pour permettre aux Etats-Unis de faire face Ă  la menace cyber.

  • Les mainframes facturĂ©s Ă  l'utilisation

    IBM a présenté deux nouveaux modes de facturation qui s'appuient sur la consommation pour les unités centrales Z.

    Le modÚle Tailored Fit Pricing existait déjà pour aider les entreprises à supporter les coûts pour les charges logiciels sur les mainframes. Il est maintenant étendu au hardware. Le modÚle ajoute un espace (Corridor) de capacité utilisable avec paiement à l'usage.

    Ce principe est disponible pour alléger les coûts sur de courts pics de charge inattendus sur une charge de travail. La facturation se réalise par heure et par MSU (Million Service Units ou quantité de traitement qu'un ordinateur peut réaliser en une heure) ou par l'usage de la CPU par heure mesuré par le SCRT ou Sub Capacity Reporting Tool.

    Des partenaires d'IBM comme Broadcom, BMC et Precisely supportent aussi ce modĂšle.

    IBM Z/15
  • LG rejoint IBM Quantum Network

    Avec ce ralliement LG va bĂ©nĂ©ficier de systĂšmes informatiques quantiques, ainsi qu'Ă  l’expertise quantique d’IBM et Ă  Qiskit, l'environnement open source d'IBM pour le dĂ©veloppement de logiciels d'informatique quantique.

  • L’OTAN a choisi IBM

    À partir de janvier 2024, IBM Consulting Cybersecurity Services fournira Ă  l'Alliance un service de gestion des actifs informatiques, des configurations, des correctifs et des vulnĂ©rabilitĂ©s.

  • Mistral AI disponible sur Watsonx

    Le modùle de grande taille de Mistral est disponible sur la plate-forme d’intelligence artificielle d’IBM.