Box

  • Box AI intĂ©grĂ© dans Slack

    Les deux entreprises étendent leur partenariat technologique avec de nouvelles intégrations.

  • Box et Google Cloud Ă©tendent leurs liens

    Les deux entreprises Ă©largissent le partenariat existant avec l’intĂ©gration de Vertex AI pour dĂ©velopper de nouvelles fonctionnalitĂ©s d'IA gĂ©nĂ©rative qui aideront les clients Ă  traiter et analyser plus efficacement les donnĂ©es stockĂ©es dans Box Content Cloud.

  • Box lance une rĂ©gion France

    L’éditeur de solutions de partage de fichiers dans le Cloud annonce une nouvelle zone France.

  • Box rachĂšte SignRequest et annonce un service de signature Ă©lectronique

    Box continue sa marche Ă  la diversification. Il prĂ©pare ainsi le lancement d’un systĂšme de signature Ă©lectronique natif, ce pour quoi il acquiert pour 55 millions de dollars SignRequest, Ă©diteur de solutions de mĂȘme genre. Une prĂ©version de Box Sign est d’ores et dĂ©jĂ  disponible. 

    Depuis maintenant trois ans, Box cherche Ă  dĂ©passer son image de simple service de stockage de fichiers en ligne. L’entreprise d’Aaron Levie a multipliĂ© les intĂ©grations et l’ajout de fonctionnalitĂ©s Ă  sa plateforme, que ce soit en matiĂšre de sĂ©curitĂ© avec Shield, de reconnaissance d’images ou d’automatisation des workflows. Elle s’attaque dĂ©sormais Ă  la signature Ă©lectronique. 

    Par le biais d’intĂ©grations avec divers partenaires, la signature Ă©lectronique Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sente dans Box, comme nous le prouvait l’éditeur lors du Boxworks 2018 Ă  travers ses outils Tasks and Automation et l’Activity Stream, permettant de vĂ©rifier la signature d’un document via DocuSign. Mais dans le cas prĂ©sent, Box veut un systĂšme de signature Ă©lectronique natif Ă  sa plateforme, un systĂšme sobrement intitulĂ© Box Sign. 

    e-signature native

    “Au cours des derniĂšres annĂ©es, nous avons dĂ©veloppĂ© le cloud de contenu leader, permettant Ă  certaines des organisations les plus importantes et les plus rĂ©glementĂ©es au monde de sĂ©curiser, gĂ©rer et collaborer sur leurs prĂ©cieuses informations. L'ajout de la signature Ă©lectronique avec Box Sign Ă©tend notre vision du cloud de contenu et aidera nos clients Ă  accĂ©lĂ©rer leur transformation numĂ©rique” indique ainsi Aaron Levie. Mais dans cette entreprise, Box n’avance pas seul. 

    L’éditeur annonce en effet mettre la main sur SignRequest, fournisseur de signatures Ă©lectroniques, pour 55 millions de dollars. L’opĂ©ration doit ĂȘtre bouclĂ©e d’ici au 31 avril prochain et verra RequestSign ĂȘtre absorbĂ© par Box, les salariĂ©s du premier travaillant Ă  l’intĂ©gration des technologies de RequestSign Ă  Box Sign, de maniĂšre Ă  ce que ce dernier passe en disponibilitĂ© gĂ©nĂ©rale dans le courant de l’étĂ©. NĂ©anmoins, les solutions de SignRequest seront toujours disponibles pour ses clients aussi bien existants que futurs. 

    Box Sign devrait ĂȘtre intĂ©grĂ© aux offres Business et Enterprise avec des fonctionnalitĂ©s supplĂ©mentaires telles que des API de signature Ă©lectronique disponibles Ă  un coĂ»t supplĂ©mentaire, mais le systĂšme en lui-mĂȘme ne devrait pas gĂ©nĂ©rer de surcoĂ»t. Aaron Levie tiendra le 18 fĂ©vrier un webinaire sur le sujet.

  • Box veut-il se vendre ?

    Le spécialiste de la gestion de contenus dans le cloud serait en discussion avec des repreneurs potentiels. L'entreprise d'Aaron Levie n'est pourtant pas en difficulté, son dernier trimestre a d'ailleurs battu à plate couture les prévisions des analystes. Mais elle est sous pression de certains actionnaires qui lui reprochent de ne pas avoir tiré son épingle du jeu lors de la crise sanitaire.

    Box est loin d’ĂȘtre une entreprise en difficultĂ© financiĂšre. Pourtant, elle chercherait Ă  se vendre. C’est ce que nous rapporte Reuters, qui fait Ă©tat de discussions entre la direction de Box et des repreneurs potentiels. En cause, les pressions exercĂ©es par un fonds actionnaire, Starboard Value. 

    Cet investisseur activiste reproche Ă  Box de ne pas gĂ©nĂ©rer assez de valeur pour ses actionnaires, notamment en ayant Ă©chouĂ© Ă  capitaliser sur la crise sanitaire et le dĂ©veloppement Ă  marche forcĂ©e du tĂ©lĂ©travail. Car le spĂ©cialiste du stockage de fichiers et de la gestion documentaire en ligne n’a pas vu son cours en bourse s’envoler ces dernier mois, contrairement Ă  certains de ses concurrents. 

    Box, combien de milliards ?

    Pour autant, Box ne dĂ©mĂ©rite pas. Ses derniers rĂ©sultats trimestriels, annoncĂ©s plus tĂŽt ce mois, ont battu les prĂ©visions des analystes : l’entreprise a enregistrĂ© un chiffre d’affaires de prĂšs de 200 millions de dollars au quatriĂšme trimestre, en hausse de 8% d’une annĂ©e sur l’autre, et un chiffre d’affaires annuel de 770 millions, soit 11% de mieux que l’exercice prĂ©cĂ©dent. 

    Mais rien n’y fait et Starboard se prĂ©parait le mois dernier, toujours selon Reuters, Ă  mettre en cause la direction de Box. L’entreprise d’Aaron Levie n’a pas commentĂ© l’information mais, dans un document fourni Ă  la SEC, elle annonce dĂ©caler la date limite de nomination des membres de son board de mi-avril au 11 mai.

  • SĂ©bastien Marotte rejoint Box

    L’ancien prĂ©sident Channel de Google Cloud dans la zone EMEA prendra en juin prochain la tĂȘte de Box pour la mĂȘme rĂ©gion. 

    Box est en pleine tourmente. Sous pression de ses actionnaires, l’entreprise pourrait chercher Ă  se vendre. Elle a reportĂ© la nomination des membres de son board Ă  mai, tandis que le fonds activiste Starboard est susceptible de s’essayer au putsch Ă  l’encontre de la direction du spĂ©cialiste de la gestion de contenus dans le cloud. Principal reproche adressĂ© Ă  Box, son incapacitĂ© Ă  capitaliser sur la crise sanitaire et le dĂ©veloppement du tĂ©lĂ©travail. Et si l’entreprise affiche une solide santĂ© financiĂšre, elle recule sur le segment PME. 

    D’oĂč, peut-ĂȘtre, une nomination stratĂ©gique dans l’une des rĂ©gions oĂč Box doit encore se dĂ©velopper, avec l’acquisition rĂ©cente de SignRequest notamment. L’entreprise amĂ©ricaine vient en effet d’annoncer le recrutement au poste de vice-prĂ©sident de la zone EMEA de SĂ©bastien Marotte. Le Français, passĂ© par Oracle et par HypĂ©rion, a dirigĂ© la rĂ©gion qui regroupe l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique pour le compte de Google Cloud pendant prĂšs de huit ans. 

    Accélérer en zone EMEA

    En 2019, Sébastien Marotte avait laissé la direction de Google Cloud dans la zone EMEA à Chris Ciauri, un ancien de Salesforce. Il devenait vice-président Channel EMEA, toujours pour la branche cloud du géant de Mountain. « En tant que l'un des premiers dirigeants de Google Cloud, Sébastien a été responsable d'une grande partie de la croissance et du développement de la zone EMEA, y compris le lancement de G Suite (devenu Google Workspace) » rappelle Box dans son communiqué. 

    Le principal intĂ©ressĂ©, qui prendra ses fonctions le 7 juin prochain, explique pour sa part que « la pandĂ©mie a accĂ©lĂ©rĂ© le rythme du changement pour presque toutes les entreprises de la planĂšte, et le passage au cloud n'a jamais Ă©tĂ© aussi urgent ». « Je crois fermement que Box a mis en place la stratĂ©gie et l'Ă©quipe pour saisir cette opportunitĂ© incroyable, et je suis extrĂȘmement heureux de me joindre Ă  cette Ă©tape importante du voyage » ajoute-t-il.