Pour la justice américaine, une cyberattaque n’est pas un acte de guerre
L’affaire opposait Merck à son assureur. Victime en 2017 de NotPetya, le laboratoire demandait que les pertes subies soient couvertes par son assurance. Refus de l’assureur, qui indique ne pas couvrir les dommages dus aux actes de guerre. Aux yeux du tribunal, « guerre » doit être entendu dans son sens ordinaire et, le cas échéant, l’assureur aurait dû inclure les cyberattaques dans le champ des exceptions.